• Une première expérience de lecteur

    L'enjeu de la démocratisation culturelle passe, dès l'entrée à l'école maternelle, par l'appropriation d'un fonds partagé d'histoires, de textes, d'albums, constamment enrichi par la production éditoriale contemporaine.

    La diversité des œuvres proposées vise à installer, en lien avec l'expérience singulière des enfants, une progressivité des pratiques et apprentissages culturels : écouter une histoire, racontée ou lue, la raconter à son tour ; comprendre une histoire, ce qui motive l'action des personnages... ; interpréter une histoire dans un contexte, repérer et apprécier les effets de langue ou de langage, repérer et apprécier les interactions entre le texte et l'image ; se familiariser avec la matérialité du livre, la diversité de l'objet-livre ; mettre en relation plusieurs histoires mémorisées... feuilleter, découvrir, s'approprier, choisir un livre ;

     

     

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  • Le langage dans toutes ses dimensions.

     

    A lire sur Eduscol:

     

    http://eduscol.education.fr/cid91996/mobiliser-le-langage-dans-toutes-ses-dimensions.html#lien1

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  • A faire absolument: Un clic droit sur les liens en fin d'article, après les avoir sélectionnés,  et,  un immense plaisir à visionner les vidéos!

     

     

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  • A partie de 2016, les enseignants de maternelle devront remplir une fiche d'évaluation des élèves.

     

    dossier sur Eduscol:   http://eduscol.education.fr/cid97131/suivi-et-evaluation-a-l-ecole-maternelle.html

     

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  • Trouvé du côté de Toulouse, programmes 2015. 

    Organisation en sciences

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  • La leçon de silence 
    Le silence
    "J’entrai un jour en classe en tenant dans mes bras une petite enfant de quatre mois que j’avais prise dans la cour, des mains de sa maman. Le petit bébé était tout serré dans ses langes, comme il était d’usage dans le peuple : il ne pleurait pas : sa figure était joufflue et rose. Le silence de ce petit être me fit une grande impression et je voulus communiquer mon sentiment aux enfants : "elle ne fait aucun bruit", dis-je ; et j’ajoutai, en plaisantant : "Aucun de vous ne saurait être aussi silencieux" (je leur montrai que la petite avait les pieds emmaillotés et serrés). Il y eut une véritable stupéfaction chez les enfants qui me regardèrent, immobiles. On eût dit qu’ils étaient suspendus à mes lèvres et que ce que je leur disais répondait profondément en eux. "Mais comme sa respiration est délicate, continuai-je ! Personne ne pourrait respirer comme elle, sans faire de bruit…". Les enfants, surpris et immobiles, retinrent leur souffle. On "entendit" ; à ce moment, un silence impressionnant. Le tic-tac de l’horloge devint perceptible. Il semblait que le bébé eût apporté une atmosphère de silence comme il n’en existe pas à l’ordinaire. Et cela, parce que personne ne faisait le plus petit mouvement. De là naquit le désir de retrouver ce silence ; ils voulurent le reproduire ; ils s’empressèrent donc, on ne peut dire avec enthousiasme, parce que l’enthousiasme a en soi quelque chose d’impulsif qui se manifeste à l’extérieur, et que cette manifestation correspondait, au contraire, à un désir profond, mais ils s’immobilisèrent, contrôlant jusqu’à leur respiration. Et ils restèrent ainsi, dans une attitude sereine de méditation. C’est de cette façon qui naquit notre exercice du silence.
    Il me vint un jour l’idée de profiter du silence pour faire des expériences sur l’acuité auditive des enfants. Je les appelai par leur nom, à voix basse, et d’une certaine distance. Ceux qui s’entendaient appeler devaient venir près de moi, faisant le chemin sans bruit. Avec quarante enfants, cet exercice d’attente demandait une patience que je croyais impossible : j’apportai des bonbons et des chocolats pour distribuer à chaque enfant qui m’arrivait. Les enfants refusèrent les bonbons. Ils semblaient dire : "Ne gâte pas notre belle impression ; notre esprit est encore en train de se délecter ; ne nous distrais pas".
    Je compris ainsi qu’ils étaient sensibles, non seulement au silence, mais encore à une voix qui, dans le silence, les appelait imperceptiblement. Et ils arrivaient lentement, en marchant sur la pointe des pieds, avec précaution, pour ne rien heurter ; et l’on n’entendait point leur pas. Il fut clair, par la suite, que chaque exercice de mouvement dont l’erreur peut être contrôlée-comme, dans le cas présent, par le bruit dans le silence- aide l’enfant à se perfectionner. Et ainsi, la répétition de l’exercice peut apporter une éducation extérieure telle, qu’il serait impossible d’en obtenir une aussi fine par un enseignement extérieur.
    Nos enfants apprirent donc à se mouvoir à travers les obstacles sans les heurter, à courir légèrement sans bruit, devenant souples et agiles. Ils jouissaient de leur perfection. Ce qui les intéressait, c’était de découvrir eux-mêmes leurs possibilités, et de les pratiquer dans ce monde mystérieux qu’est la vie qui se déroule". 
    Extrait de l’Enfant, Maria Montessori, 1936.

    Ce texte date. Il n’en reste pas moins que des fondements restent valables : apprendre et vivre le silence. Maria Montessori a développé ces exercices de silence avec un cérémonial. Maîtrise du corps, maîtrise des objets, accès à l’intériorité. Exemple : les enfants sont assis en cercle. Au milieu, une table et une chaise. L’enfant appelé vient s’asseoir et cherche à maîtriser le déplacement des objets en évitant tout bruit. Les autres écoutent et lèvent la main s’ils entendent du bruit. Ce type d’exercice peut être réalisé avec un crayon qu’on pose sur une table, avec une cloche qu’on porte en évitant de la faire sonner (préhension avec les trois doigts de l’écriture), avec une bougie allumée qu’on déplace calmement pour qu’elle ne s’éteigne pas, avec un verre d’eau qu’il ne faut pas renverser, avec un objet sur la tête qui oblige à se tenir droit et à se mouvoir tranquillement, pour ouvrir et fermer la porte de la classe sans la claquer... L’enseignant peut également appeler des enfants par leur prénom en chuchotant pour démarrer une activité, aller au vestiaire, sortir en récréation. L’enfant se déplace en silence, faute de quoi il revient s’asseoir et patiente à nouveau.

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    Les acquis des enfants à l'issue de l'école maternelle:

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  • Maternelle : Complimenter les enfants 

     

    " Regarde-moi, regarde-moi! » C’est le refrain entonné par les enfants afin que leurs parents leur prêtent attention et commentent leurs actions. Les parents répondent souvent, « C’est beau! » ou « Tu es extraordinaire! » Mais il y a un autre moyen d’accroître l’estime personnelle des enfants, facile d’usage et qui favorise en même temps l’autonomie et un bon comportement : « le compliment descriptif »". Le site de la circonscription de Dieppe Ouest reprend ce document canadien qui veut complimenter sans rendre dépendant.

     

     

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